NICOLAS KRUGER

photo
" Une reprise (…) dont le détour révèle surtout une direction musicale de tout premier plan. On ne s’attendait pas à une telle évidence sonore : Nicolas Krüger vient de livrer une magnifique lecture de Pelléas. La fosse de l’Auditorium dijonnais gagne une immensité quasi-océanique avec le geste large de cette interprétation symphoniste, une approche semblable à celle que Karajan avait adoptée. Avec une attention constante aux détails d’une œuvre qui fait rarement grand bruit mais qui bruisse de sortilèges, le petit-fils de Henry Barraud obtient le meilleur de l’Orchestre Dijon Bourgogne."Jean-luc Clairet, Resmusica - Pelléas et Mélisande, Dijon Septembre 2019.

"On attendait l’Orchestre Dijon Bourgogne, qui abordait l’ouvrage pour la première fois. Sous la direction habitée et claire de Nicolas Krüger, il se révèle sombre comme solaire, morbide comme rutilant, avec de remarquables solistes. A son habitude, toujours attentif au chant, le chef excelle à réaliser un discours fluide, très retenu pour mieux faire valoir les bouffées d’exaltation, avec un constant souci des couleurs. On sort transporté, pour de nombreuses heures, conscient d’avoir assisté à un grand Pelléas." Yvan Beuvard, Forum Opéra, septembre 2019.

"Le caractère sombre de la mise en scène n’empêche pas Nicolas Krüger de proposer une direction apte à rendre compte de tous les sortilèges de l’orchestre debussyste, traduisant avec une efficacité et une poésie remarquables aussi bien la fluidité et l’évanescence (motif de Mélisande) que la tension dramatique (la colère sourde ou éclatante de Golaud), la tendresse amoureuse que la jalousie dévorante, le jaillissement de la lumière que la marche lente et inéluctable vers le silence de la mort. Il est en cela parfaitement secondé par un Orchestre Dijon Bourgogne très impliqué et constamment soucieux de traduire au mieux les arabesques mélodiques et les sonorités poétiques de l’écriture debussyste.Stéphane Lelièvre, Bachtrack - Pelléas et Mélisande, Dijon, septembre 2019

« Nicolas Krüger déployait tour à tour des trésors de délicatesse et une inspiration visionnaire, dans les moments où le classique Cherubini se laisse aller à une fougue presque berliozienne. »
Jacques Bonaire - La lettre du Musicien - Médée- mai 2016

« Formidable de clarté, de souplesse et d’allant, Nicolas Krüger magnifie les qualités de l’Orchestre Dijon Bourgogne. »
Laurent Bergnach - Anaclase - Médée - mai 2016

« Nicolas Krüger, musicien complet, dont l’expérience lyrique est riche, s’engage pleinement dans la défense de cette partition injustement marginalisée. La lecture qu’il nous en donne est absolument convaincante. L’orchestre, galvanisé, brille de toutes ses couleurs, animé, nerveux, rêveur, passionné. »
Yvan Beuvard - Forum Opéra - Médée - mai 2016

«…Quant à l’orchestre, sous la baguette de Nicolas Krüger, il se montre à la fois lyrique et emporté, réactif et efficace avec un phrasé délicat et de bon goût, ainsi que des nuances distillées à bon escient. »
ResMusica - Médée - 2016

"Nicolas Krüger donne à l’orchestre une belle flamme berliozienne."
Damnation de Faust - Opéra de Rouen - Resmusica

"A la tête de l’Orchestre et des Choeurs de l’Opéra de Toulon, le chef français Nicolas Krüger dirige avec une dynamique qui jamais ne se relâche, une réactivité immédiate aux situations et un vrai esprit d’équipe. Surtout, il sait trouver les couleurs les plus justes, qui conservent à l’ouvrage son immortelle jeunesse."
La Belle Hélène - Opéra de Toulon - Classicnews

"L’ensemble était dirigé par Nicolas Krüger. De belles connivences suscitées par ce chef ont donné un résultat remarquable."
Histoire du Soldat/L'homme qui titubait dans la guerre - Douai - Voix du Nord

"Dès l’ouverture on était saisi : les couleurs suggestives et les rythmes prenants prenaient leur essor avec une verve joyeuse mais de bon ton, sans éclats intempestifs ou scansions pesantes. Le plaisir se prolonge : Nicolas Krüger dirige avec une précision impeccable et obtient de l’orchestre une complicité sans accroc. Il partage avec tout le plateau le triomphe que le public réserve au spectacle, dans l’euphorie du feu d’artifice final auquel participent les volcans du décor. Les Brigands sont entrés brillamment au répertoire de l’Opéra de Toulon."
Les Brigands - Opéra de Toulon - Forumopera

"Sul podio, Nicolas Krüger ci ha offerto una concertazione dai tempi serrati, briosa. Gli attacchi erano precisi e i cantanti erano seguiti senza appesantire il ritmo. Apprezzabile la sonorità e la omogeneità ritmica degli archi, così come l’apporto preciso del fortepiano nei recitativi. Una esecuzione del capolavoro rossiniano sempre viva e teatralmente coinvolgente, alla quale il pubblico ha tributato un successo convinto."
Il Barbiere de Siviglia - Opéra de Toulon - BGOpera magazine

"Sur le podium, Nicolas Krüger nous a offert des tempi serrés et brillants. Les attaques étaient précises et les chanteurs suivis sans que le rythme s'en trouve appesanti. Nous avons apprécié la sonorité et l'homogénéité des cordes, comme l'apport précis du forte-piano dans les récits. Une interprétation du chef-d'oeuvre rossinien toujours vive et entraînante, à laquelle le publique a réservé un succès certain."
Il Barbiere de Siviglia - Opéra de Toulon - BGOpera magazine

"…Nicolas Krüger leitet ohne Stab, signalisiert dynamische Einstellung über Körperspannung und malt auch schon mal den breiten Strich für die Celli satt in die Luft.Das Orchester reagierte prächtig auf das manchmal etwas kantig wirkende Dirigat, das explosive Einsätze löste, aber den Gesamtklang gut auf Linie brachte."
Stabat Mater, Pergolesi, Haydn Trauersinfonie et Passione, Köln Philharmonie - Kölnische Rundschau

"…Nicolas Krüger dirige sans baguette, il marque les changements dynamiques avec une tension corporelle et dessine dans l'air de larges phrases aux violoncelles. L'orchestre réagit magnifiquement à la direction parfois acérée, et la sonorité générale et de grande qualité."
Stabat Mater, Pergolesi, Haydn Trauersinfonie et Passione - Kölnische Rundschau, mars 2013